ETUDES DE CAS : « Ich Bin DON QUICHOTTE

January 9, 2018 | Author: Anonymous | Category: Arts et Lettres, Spectacle vivant, Théâtre
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ARTS ET SPECTACLES : Las reescrituras de Don Quijote en la dramaturgia francesa (XVIIe-2014): -Transgenericidad (genero novelesco al genésico dramatúrgico) -Transcultularidad -Transhistoricidad Premier tome: 1605; Deuxième tome: 1615. Introducción general: La primera parte tuvo un gran éxito en España (1605). Beaucoup d’auteurs se sont inspirés de Cervantès et ont écrit à “la manière de…” 10 ans plus tard, le deuxième tome est publié. Es una novela. Don Quijote es una novela contemporal, moderna, es el origen de la novela moderna. Es una novela narcisista, de pura ficción, se única preocupación es la literatura. En la Edad Mediad, la literatura es política, intelectual, social. “En un lugar de la Mancha” (espace romanesque qui n’existe pas dans la réalité, c’est l’incipit du roman). Pour la première fois, le roman coupe avec la réalité ! L’espace et le temps sont « de fiction ». « Un hidalgo » (le personnage n’a pas de nom, ni de prénom) ; pour la première fois, le personnage est une fonction littéraire. Marthes Robert a écrit un ouvrage appelé “Roman des origines et origines du roman “. Pour Robert, Don Quijote est l’origine du roman. Le nom du personnage n’a pas d’importance. Esta novela es una seria de círculos. Una espiral, la muerte del personaje es una función. Tiene una estructura espiral. Los dos Don Quijote es un diálogo cíclico con Sancho de la Panza. Estos dos elementos permiten las reescrituras de esta novela. Don Quijote es espacial, atemporal… ¡es un personaje puro fictivo! De Cervantes es un perceptor. Dulcinea = Cervantès s’inspire d’une femme dont il était tombé amoureux (appelée Ana Isabel), Dulcinea est le “raccourci” de “Dulce Ana Isabel”. La novela es totalmente ambigua, desconectada del espacio y del tiempo, pero tiene puntos de contacto con la realidad. ¿Es una novela o es teatro? ¿Es una novela dialogada o también teatro improsa? Le temps romanesque n’est pas le temps dramaturgique, c’est une compression temporelle. Elle génère une problématique spatiale, il y aura un phénomène de réduction spatial au théâtre. Il y a tout un éventail de personnages, qui représente toute la société espagnole.

La lengua es un problema. Lingüísticamente, no podemos hablar de reescrituras. La palabras de Don Quijote, de Sancho Panza… no son los mismos que la novela. Gérard Genette développe une théorie romanesque, l’intertextualité (passage d’un texte à un autre texte). C’est un dialogue entre 2 voire plusieurs textes, en effet, quand on devine un texte c’est qu’il y a un phénomène d’intertextualité. La transsexualité est différente. Le palimpseste (el palimpsesto) est la couche originale du texte sur une peau, un papier… C’est le texte dessous le texte. L’hypotexte est le synonyme de « palimpseste » (hipotesto). La postmodernité démarre en 1970 (postmodernidad), concept philosophique dont les chefs-de-file sont Deleuze, Derrida, Quattari… Derrida parle du concept de « déconstruction ». C’est par la déconstruction que nous pouvons réécrire.

I Adaptations dramaturgiques du 17e au 19e en France : II Adaptations dramaturgiques du 20e au 21e :

I ADAPTATIONS DRAMATURGIQUES DU 17e AU 19e EN France : Le Quichotte de 1605 et celui de 1615 sont des successions de dialogue ! Don Quijote narra las azanas de los dos personajes; el Qujote es, en una forma textual, es una obra de teatro. ¿Es una novela o es teatro? ¿Es una novela dialogada o también teatro improsa? Le texte lui même est dans un état dramaturgique, il contient des passages comiques (par le biais de Sancho Panza), mais aussi des passages tragiques (incarnés par Don Quijote). C’est une tragi-comédie. La plupart des dramaturges ont lu des traductions (environ les ¾ des réécritures passent par le filtre de la traduction. Il existe une dramaturge espagnole qui a lu le texte en espagnol mais qui a fait une traduction en français. Au 17e, toutes les réécritures françaises sont issues du texte traduit (partiellement, tout n’était pas traduit, le lecteur français avait donc une lecture fragmentée, la traduction au 17e signifiait « adaptation »). Les réécritures sont fragmentaires, elles résultent d’un parti pris linguistique et donc culturel. Las reescrituras del siglo XVII en el teatro (en Francia) depiende todas en la traduccion, esta traduccion del baroco tiene 2 problemas : -la traducción es parcial. -la traducción es una adaptación. Es difícil hablar de reescrituras en el siglo XVII. La primera reescritura conocida de Don Quijote al francés se titula “Le Ballet de Don Quichotte dansé par Mme Santenir” (jouée au Louvre le 3 février 1614, c’est la toute première réécriture française.) Es una obra comica, el dramaturgo quiso subraya la dimension comica y festiva, la tonalidad es el comico.

En 1628, Pichou crée une 2e réécriture. Le contenu est totalement différent de la pièce de 1614, Pichou pose la problématique cervantine et philosophique, c’est « La folie de Cardenio » (c’est une tragi-comédie). Don Quichotte arrive à l’Acte III, de la pièce ! Don Quichotte ne pèse rien, il n’a aucune responsabilité dramaturgique, il n’a aucun poids dans la trame, Cardenio est le protagoniste et non Don Quichotte ! Don Quichotte incarne l’ennemi espagnol, dans la pièce il est perçu comme un « imbécile » ! Il a tout les défauts de l’espagnol basique. Lo que poetico dependo de lo que es politico.

1639-1640-1642: Guyon Guérin de Bouscal insiste lui sur le contenu philosophique. Il créé le Quichotte en trilogie au théâtre. Il met en valeur les questions « qu’est ce que la réalité ? qu’est ce que l’illusion ? » on repose la question du mythe de la caverne. « Don Quichotte de la Manche » paraît en 1639 (le titre cervantin est repris !), « Don Quichotte de la Manche. Seconde Partie » en 1640, « Le Gouvernement de Sancho Panza » en 1642 ! La trilogie est donc philosophique. Pichou, est très clivant en 1628, Guérin de Bouscal va tenter d’adoucir les mœurs francoespagnol.

SIGLO XVIII : El siglo XVII es el « Siècle des Lumières » (en France) « Los Ilustrados » (en Espana). Les réécritures dramaturgiques au 18e (époque classique) reprennent l’aspect comique. En 1705, Bellavoine (dramaturge français) écrit une œuvre appelée « Sancho Panza ». En 1709, Campistron (dramaturge) poursuit avec ce message strictement comique, son œuvre s’intitule « Le jaloux désabusé ». Suivront une série d’œuvres dramaturgiques, dont, en 1711 avec Destouches. En 1793, Laya (dramaturge français) publie une adaptation appelée « L’Ami des Lois ». L’œuvre est totalement imprégnée de ses préoccupations politiques, elle fait de la réécriture de Don Quichotte, le prétexte d’un manifeste prorévolutionnaire, Don Quichotte prône alors la République, le suffrage universel… C’est la première fois en France que va disparaître des réécritures, l’aspect comique comme détermination principale, avec Laya on constate une rupture avec ses prédécesseurs, les préoccupations sociales, humanistes… seront mises en valeur.

SIGLO XIXe : Le 19e siècle est le siècle du romantisme (exaltation des sentiments, tels que le Spleen, l’Amour…) les thèmes privilégiés sont l’Amour et la Mort. Les réécritures du Quichotte n’y échappent pas. Au théâtre va se mêler le ballet etc… Victorien Sardou introduit la danse, le chant… pour la première fois au théâtre et dans les réécritures dramaturgiques, on ne parle

plus d’Actes mais de Tableaux ! La prose et la poésie s’alternent. L’œuvre de Sardou s’intitule « Don Quichotte. Pièce en 3 Actes et en 8 Tableaux » (1864). Es una obra romatica y la obra de Victorien Sardou sigue el impulso de las reecreaciones, se inspira en las reescrituras revolucionaras. Tiene 2 caracteristicas: -Es una obra filosófica -Es una obra de tipo cómico De la perspectiva formal, dramatugico, el siglo XIX es una mezcla de baile, de canto, de música. Victorien Sardou propone una mezcla entra prosa y poesía. Au XIXe ce sont les espagnolades (reprise caricatural d’un trait espagnol). Sadou incluye toreros que no existian en la obra de Cervantes.

CONCLUSION: Il y a une nette densification du contenu, l’approche, moqueuse auparavant, devient philosophique, grâce à l’influence de la dramaturgie post-révolution qui fait du théâtre un outil de philosophie. II ADAPTATIONS DRAMATURGIQUES DU 20e au 21e :

SIGLO XX : La première réécriture en France date de 1905, est une tragi-comédie de Jean RICHEPIN, en trois actes, appelée Don Quichotte. Elle a été jouée à la comédie française. Entre 1905 et 1950, il y a une réécriture de Don Quichotte à travers le Mime Marceau, cette réécriture s’appelle Bip interprète Don Quichotte, le langage scénique est uniquement visuel. 1965 : Yves JAMIAC propose une réécriture appelée Don Quichotte, jouée en Février au Théâtre des Céléstins à Lyon, la mise en scène est de Jean-Paul le Chamois. 1973 : Serge GANZEL propose une œuvre intitulée Le Quichotte. Chevalier d’errance. 1989 : Georges BERDOT écrit une œuvre «L’ingénieux hidalgo Don Quichotte de la Manche . 1992-1993-2000 : En 1992, Vincent BADY écrit QuijotyPanza est le premier titre du XXe siècle a être original. En Juillet 2000, Jacques DAU et Jean-Marc CASTELLA sont à l’origine de Mais qui est Don Quichotte. Le XXe siècle fait preuve d’originalité dans la réécriture de Don Quichotte, l’œuvre cervantine est donc plastique ! Siglo XXI : Entre l’année 2000 et l’année 2013, il y a eu 59 réécritures. Le 21e siècle est le plus fertile. Le Quichotte n’a jamais été aussi parlant pour le théâtre français. Le théâtre de 400 ans inspire toujours le théâtre actuel. Il y a 3 réécritures en langue française en Belgique. Le corpus est donc varié du géographiquement mais le contenu et la forme

restent cohérents. Toutes ces œuvres sont en langue française. L’aspect francophonie permet cette unité. Il y a 3 types de réécritures dans ce corpus : -Le type d’écriture est conventionnel, c’est le théâtre conventionnel (une scène, un espace temps…) -Réécriture inter-générique, intermédialitée. Ce théâtre fait appel à l’art du cirque, le chant est présent, il y a des marionnettes, de la musique… -Théâtre multimédia. DANS CES 3 GRANDS TYPES DE REECRITURES ON REMARQUE UNE EVOLUTION CHRONOLOGIQUE, PLUS ON AVANCE DANS LE XXIE, PLUS ON REMARQUE UN RECOURS AUX MULTIMEDIAS.

-CE THEATRE DEMONTRE LA GRANDE PLASTICITE DU ROMAN CERVANTIN, IL EST DU GRANDE SOUPLESSE. -LE ROMAN SERVANTIN EST-IL UN ROMAN ? EST-CE UN ROMAN DIALOGUE ? -LES MISES EN SCENE SONT DE PLUS EN PLUS COMPLEXES. Il y a une densification plastique, esthétique, dans les scénographies. Si on prend les œuvres déclarées à la SACD entre 1864 et 1976, il y a eu 84 réécritures (0,62 œuvre/ an). Entre 2000 et 2011, le ratio est de 4,6 œuvres/ an ! C’est une véritable explosion de créations dans la scène dramaturgique française en rapport avec le Quichotte. On peut également classer par sources, il y a 2 grands ensembles : -La version inspirée du roman cervantin. Le dramaturge relit le texte. -Le dramaturge s’inspire d’autres recréations. C’est une sorte de mise en abyme. Il y a deux sous-catégories : soit le dramaturge s’inspire d’un confrère, soit il réécrit ses propres réécritures, il s’auto-réécrit. Didier GALAS écrit « Don Quichotte » en 2005, c’est une réécriture d’une propre réécriture (« Fiction Quichotte » produit à Caracas) de Didier GALAS ! Les titres sont très intéressants. 26 titres sur les 59 proposent un titre éloigné de celui initial, 5 titres sont des jeux morphosémantiques « Don Quichotte a la Plancha » ou « Don Quichotte, malgré lui », 3 autres titres évoquent le thème spécifique de la recherche d’identité (« Don Qui ? », « Don Quichott(e) », « Don Quichotte. La véritable histoire »), 2 autres titres mettent le doigt sur le thème amoureux (« Don Quichotte ou la folie d’aimer », « La complainte de Dulcinée »), 6 titres mettent l’accent sur le statut chevaleresque du personnage cervantin («Le chevalier de la triste figure », « Don Quichotte. Souvenirs d’errance »), 1 titre insiste sur le binôme chevalier/écuyer « Don Quichotte et Sancho

Panza »). Les titres sont parfois énigmatiques comme « Sous le ciel de Quichotte », « L’inaccessible étoile », « Je m’appelle Don Quichotte ». D’autres soulignent la folie : « Brass Quichotte. Le fou a un faux pli dans la cervelle », « Don Quichotte et le désenchanteur »… D’autres encore évoquent le contexte contemporain, comme « Au cœur du monde. Les nouvelles aventures de Don Quichotte en Seine-Saint-Denis » (œuvre d’Armand GATTI). « Don Quichotte On Off » est un auto-titre. Les modalités multimédias sont importantes (œuvre de Jean-Marc BAILLEUX, jouée pour la première fois à La Villette, le texte est francoespagnol, le territoire est Internet, l’espace-temps est virtuel, son cheval est son clavier, il fait la chasse aux enfants-soldats, il libère également les travailleurs clandestins, il défend les prostituées, il les anoblit…) Il ne parle pas la langue de Cervantes mais la langue des multimédias, il est complètement dépassé par les valeurs du monde virtuel. Il ne comprend pas que les livres soient en virtuel ! Le rapport entre les personnages et l’acteur est intéressant. Parfois l’actrice est habillée en homme. La femme incarne le mythe, c’est le cas de la metteur en scène Isabelle STARKIEZ qui fait jouer Don Quichotte par une femme. L’actrice Eva CASTRO interprète et Don Quichotte et Sancho Panza. Parfois, des femmes jouent le rôle du personnage féminin. Almudena RUIZ écrit « Don Quichotte de la Mancha », Don Quichotte est interprétée par une femme, le Quichotte devient une femme au sens propre du terme. Elle pose la problématique quichottesque dans des problématiques féminines.

ETUDES DE CAS :

« Ich Bin DON QUICHOTTE » : Ich Bin Don Quichotte a été jouée en 2010, la scénographie est de la compagnie « Antipodes ». Cette œuvre est intéressante du point de vue scénographique, en effet, elle est intermédiale.

Esthétique post-moderne : accumulation de langages. Confusion au sens étymologique. Langage scémiotique= visuel. Absence d’intention de contenu. 1970 : théâtre de post-modernité= accumulation, engluement dans la forme au détriment du sens.

Cour : Passé. Le maquillage renvoie à l’aspect « superficiel », le piercing évoque la société moderne. Le jeu avec le miroir est également utilisé au cinéma. Les yeux représentent le regard du spectateur, les doigts l’intime, la bouche la sensualité. On ne peut pas allumer de feu sur scène, la cigarette représente l’interdit. Jardin : Présent. Le bleu permet un effet tamisé, intime. Le voile, tissu utilisé évoque le flou.

ETUDE DE CAS : ICH BIN DON QUICHOTTE :

Lisie Philipe est inspirée par Maurice Béjart et P. Baush. Ses textes sont internationaux voire européens, elle veut transmettre un contenu philosophique, les codes sont visuels et présupposent une perception sensible. Elle s’affranchit des frontières, des codes, elle dépasse également les limites des genres (musique, spectacle vivant, projection, vidéo-projection…) c’est un spectacle transmédial, il s’agit bien dans une optique postmoderne de déconstruire les conventions. « Antipodes » affirme le rêve. Don Quichotte nous appelle à devenir comme lui. Tout citoyen est un artiste, tout artiste est un philosophe. Le moulin résume tous les monstres de Don Quichotte et tous les maux de la société. Invitation à prendre du recul, à déconstruire. Les 11 minutes se présentent sous la forme de plan séquence, en 5 tableaux. Premier Acte : Solo de Dulcinée Deuxième Acte : Entrée de Don Quichotte Troisième Acte : Pas de deux Quatrième Acte : Séquence d’images Cinquième Acte : Caméran faisant surgir le climax par la bouche de Don Quichotte qui vomit ce son. Il faut voir ce qu’il y a avant. L’œuvre qui précède Don Quichotte par la compagnie « Antipodes » est « Ma NiaK » (huit-clos sartrien). Antipodes s’est

lancé dans le théâtre de rue. Lisie Philipe est fascinée par 2 mythes, Don Quichotte et Faust. Il y a une cosmologie bipolaire, le vocabulaire est manichéen. Faust et Don Quichotte entrent en conflit dans le processus de création d’Antipodes pour déconstruire les conventions. Le spectateur s’interroge, réfléchit. Le spectateur devient co-auteur. Les lumières sont bleues, blanches… destinées à sculpter le corps des acteurs. Hybridation du langage transmédial, rôle important de la lumière et de la musique. La lumière et le son interviennent dans ce type de spectacle sur le plan de la narration et sur le plan sémantique. La lumière et le son « disent quelque chose ». La colonne vertébrale de la pièce est le fondu enchaîné. Le théâtre reprend ainsi un langage cinématique. Le fondu enchaîné dit : -Un spectacle fragmenté= nous vivons dans une société fragmentée (ex : télécommande). Le spectacle post-moderne veut trouver une unité au-delà de la fragmentation. Geoges Mélies (« Voyage dans la lune ») est le pionnier du fondu enchaîné, en 1902. Luis Bunel va comprendre que le fondu enchaîné permet une métaphore directe, passant par les yeux. Christian Metz : « Le fondu enchaîné sépare tout en reliant, il relie tout en séparant». Le théâtre contemporain veut déconstruire les personnages, déréaliser le corps. Le corps est un sujet en soi. « El publico » de Garcia pose la question du public, pour lui le public ne doit pas être passif. La rhétorique de l’espace : L’espace devient cloisonnement.

sémiotique.

Actuellement

nous

sommes

dans

le

CONCLUSION : -Nous avons travaillé sur le cas d’une réécriture allant du genre romanesque au genre dramaturgique. -C’est une réécriture transgénérique. -Ce genre de réécriture implique une compression du volume textuel, rhétorique, narrative. Le temps et l’espace sont compressés (=compression de l’espace-temps, du chronotop). Les personnages sont compressés. -Nous avons constaté également une empreinte du contexte sociologique, idéologique, politique, historique, sur les réécritures. -L’ultramodernité fragmente le roman cervantin à l’extrême par l’application d’une multitude de langages contemporains et en même temps l’utilisation des fondus enchaînés de toute-sorte au théâtre, qui permettent au récepteur d’établir des liens entre ces éléments fragmentés et fragmentaires.

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