La prêche à l`Islam: Comment les sœurs doivent prêcher entre elles

January 9, 2018 | Author: Anonymous | Category: Arts et Lettres, Sciences des religions, Islam
Share Embed Donate


Short Description

Download La prêche à l`Islam: Comment les sœurs doivent prêcher entre elles...

Description

La prêche à l'Islam: Comment les sœurs doivent prêcher entre elles. Da’wa infiradiya Il s’agit du Prêche individuel à l’islam pour les sœurs mais aussi de manière général pour les musulmans. Dans un hadith le Prophète Mohammed dit "Ya Ali, fa wallahi la ane yahdi Allahou bika rajoulane wahidane, kheyrone laka mine houmourine na3am" c'est à dire "O Ali, si Allah guide par ton intermédiaire ne serait ce qu’une seule personne , cela vaut mieux pour toi que la terre et son contenu. Et Lorsque le Prophète

dit ça, c’est valable pour l’homme et pour la femme.

Au niveau de l’organisation, le Prophète Mohammed nous enseigne qu’il y a plusieurs règles bien précises concernant la femme pour aller prêcher l’Islam et Allah dit dans le coran : « Vous êtes la meilleur des communauté qui sort auprès des gens pour prohiber le mal et inviter les gens vers le bien et vous croyez en Allah.» Et dans un autre verset Allah dit « qu’il y ai parmi vous des gens qui invitent les gens au bien et qu’ils les éloignent du mal » Dans toute la communauté du Prophète Mohammed , on sait que ce n’est pas tout le monde qui est compétent c’est pour cela que Allah dit « qu’il y est parmi vous » car ces gens là ont les capacités, ont les moyens, qui ne relèvent pas que de la science et de la connaissances mais également d’autre caractéristiques importante. La première des choses, lorsque l’on va prêcher l’Islam qui concerne homme et femme confondu, c’est le souci de la personne, être sincère envers Allah mais être également soucieux de la personne. Da’wa infiradiya, c’est un prêche qui est individuel, très concentré, on se soucier de la personne, on doit sortir la voir ou elle vient nous voir, on doit avoir les ablutions car on parlera de Allah, du Prophète, des compagnons, de L’islam. C’est donc un moment très important auprès de Dieu. Il faut détendre son cœur, son corps, sa poitrine, avant que la personne arrive à la maison, on fait ses ablutions, 2 rak’at et on demande à Allah qu’il nous ouvre la poitrine pour avoir un discours qui est simple , facile et cohérent. Il y a un dou’a à dire lorsque l’on vient pour tenir un discours, tiré de la sourat Taha n°20, v25 à 28 « qala rabbi ichrah li sadri wayassir li amri waouhloul ^ouqdatan min lisani yafqahou qawli » On y va

donc, ou on l’attend, avec dikr Allah et on fait du tasbih, et non pas lorsque la personne arrive ou que l’on va la voir à ce moment on soit au téléphone ou que l’on est en train de parler de chose futile, éphémère de la vie d’ici bas par exemple de recette de cuisine de vêtement vu en solde dans un magasin ou encore pire en écoutant de la musique car pour préparer un discours ce n’est pas que la parole que l’on va dire qui est importante, il faut aussi préparer le cœur, que le cœur soit apaisé, en bonne condition , qu’il soit bien orienté incha Allah. Donc avoir les ablutions et faire dikr Allah avec les main et la langue et c’est encore mieux que d’écouter le coran car lorsqu’on écoute on est attentiste alors que quand on fait dikr Allah on est offensif, on est déjà prêt à parler donc c’est une manière de se mettre en condition pour inviter les gens à l’Islam. On ne fait pas plusieurs chose en même temps car le cœur ne peut être rempli de 2 activités il ne pourra pas suivre, on peut faire plusieurs choses avec la tête mais pas avec le cœur.

Il faut aussi mettre dans l’intention que ce n’est pas nos parole qui guident mais c’est Allah qui guide et Allah dit sans Sourate 18 Al-Kahf, verset 17 « man yahdi allahou fahouwa almouhtadi waman youdlil falan tajida lahou waliyyan mourchida» « Celui que Dieu guide alors c’est lui le bien guidé mais celui que Dieu ne veut pas guider, personne ne peut le ramener sur le droit chemin »

Il est donc important de mettre l’intention que Allah à travers nos paroles va guider cette personne, on ne part pas avec l’idée que c’est ce qu’on va dire qui va guider la personne ou alors qu’en on repart à la fin, se dire « de toute façon je lui ai prêcher l’islam elle a pas voulu comprendre » non, on y va pas pour ça, on y va pour faire notre devoir de musulman « la rasoul ba’d rasoul » qui veut dire « Il n’y a plus de prophète après le prophète Mohammed » c’est à dire que la prophétie est terminé. Avant pour chaque peuple Dieu envoyait un Prophète pour ramener les gens vers la religion et après Mohammed cette tâche là incombe à tous les musulmans un par un, homme et femme, qui ai les moyens de le faire, qui ai la raison.

Allah dit dans le coran « Il n’y a pas meilleur parole et il n’y a pas meilleur action que celui qui prêche les gens à l’Islam et qui ai fait œuvre de bien et qui dit je suis du nombre des musulmans » Ce verset à pour but de nous faire comprendre la valeur du prêche à l’Islam, Dieu nous informe bien « qu’il n’y a pas meilleur action » et ce verset est également une référence capital à propos du fait de s’appeler musulman et pas autre chose.

On met la sincérité, le but est d’être agrée par Allah, on renforce également la sincérité dans notre intention, ne pas le faire par orgueil, par ostentation. Lorsqu’on y va il faut bien comprendre que la personne qui est concerné par le prêche, c’est la personne qui s’exprime, nous en premier nous avons besoin des paroles que nous citons, on le fait aussi bien parce que c’est notre devoir de musulman que parce que c’est un devoir de nous prêcher à nous même la religion.

En troisième point, on y va de manière modeste et très humble, on y va en disant « qal Allah » Celui qui a créer les 7 cieux et 7 terre et on y va avec la parole du Prophète Mohammed qui est la meilleur créature de Dieu à propos de laquel Allah à dit dans sourat 33 Al Ahzab verset 56 « inna

allaha wamala-ikatahou yousallouna ^ala alnnabiyyi ya ayyouha alladhina amanou sallou ^alayhi wasallimou tasliman » Qui veut dire « Dieu et les anges font la prière sur le Prophète, ô vous qui avez cru faites vous aussi des prières sur le Prophète Mohammed »Donc faire attention à l’importance des propos que l’on tient et aussi par qui on les a obtenu.

Quand à la tenue vestimentaire, c’est également un point extrêmement important particulièrement pour la sœur. La tenue vestimentaire doit être conforme à l’islam c’est à dire qu’elle sort avec son hijab, elle sort avec une tenue comme l’islam l’attend et le veut de nous, le visage et les mains découvert, pas besoin de mettre de gants ou quelque chose sur le visage comme l’on rappelé ijma’ al ‘oulama qui on dit que la femme pouvait découvrir ses mains et son visage et le Prophète Mohammed la lui meme dit en premier, donc il n’y a donc pas à débattre la dessus.

Bien évidemment la sœur ne doit pas être parfumé, elle sort en baissant le regard « rad al bassr » qui est une des branches de la pudeur « al haya » pour pas que le regard soit un peu dispersé autour d’elle, elle sait ou la personne habite, elle n'a pas besoin de regarder à droite à gauche. Lorsque la femme va prêcher une autre femme chez elle, elle ne se met pas debout la femme prêche assise, et bien sur pas dans la rue sur un banc ou sur la pelouse, pas dehors mais chez la personne, les hommes peuvent prêcher dehors sous certaine condition, mais les femmes prêche à la maison.

Dans le cœur il doit y avoir de la rahma, de la miséricorde dans le cœur parce que quand on va voir la sœur concerné il se peut que son niveau de connaissance, de pratique soit très faible, peut être en frappant à la porte on va entendre de la music elle va être parfumé à outrance des habit très très court mais nous nous n’y allons pas pour critiquer les gens, pas pour regarder les gens de travers, les regarder de haut ou s’imposer en tant que professeur être au dessus d’eux pour leur transmettre ce que eux ignore ce n’est pas l’objectif de la musulmane et ce n’est pas l’objectif du musulman. On y va pour inviter les gens à l’Islam pour réveiller nos cœurs en premier et non pour les juger ou pour leur dire ceci est haram, ça c’est bid’a, ça c’est une innovation, Dieu n’a pas dit ça … non, tout ça on ne rentre pas dedans.

Une autre chose importante est de ne pas y aller les mains vides, on y va de préférence avec un cadeau dans la main, un petit quelque chose, même une petite bouteille de parfum en lui précisant que c’est pour la maison, ou un chapelet pour faire dikr Allah, ou un petit coran, peu importe juste un petit quelque chose ne serait ce qu’ un gâteau. Quand on invite une personne à l’islam lorsqu’on ne la néglige pas, que l’on a un excellent comportement, un visage souriant, que l’on fait l’effort de s’habiller bien pour cette personne pour avoir une bonne image alors elle va avoir une bonne image de l’islam.

Et il faut savoir que lorsque l’on prêche les gens à l’Islam, le message le plus important qui est véhiculé et qui marque le plus ce n’est pas ce que l’on va dire mais l’apparence que l’on va donner. Si on y va avec pour seul préoccupation que pendant qu’on lui parle du dine c’est de finir les gâteaux du plat qu’elle nous aurait présenté en prenant bien soin de choirir celui où il y a le plus de chocolat ou il y a le plus de miel… le plus beau et de remplir ses poches, là le comportement ne sera pas du tout conforme à nos propos et la personne va le voir. Et on est plus facilement rebuté, mis en arrière, on doute plus facilement d’un mauvais comportement que l’on accepte plus facilement les bonnes paroles. Parce

que généralement dans la vie on use en priorité de ses 5 sens avant la raison et avant le cœur.

Pour aimer quelqu’un ça prend du temps, on ne tombe pas amoureux du jour au lendemain, pour comprendre les choses et les accepter ça prend du temps aussi, on a pas un esprit critique avec du recul immédiatement alors que les 5 sens sont mit tout de suite à contribution. Lorqu’on touche quelque chose on sait tout de suite si c’est froid ou chaud, quand on goûte quelque chose on sait si c’est sucré ou salé et quand on sent quelque chose, on sait si c’est une bonne odeur ou une mauvaise odeur, de la même manière que quand on voit quelque chose on voit si c’est beau ou si c’est lait, si c’est acceptable ou si c’est répréhensible donc quand on se présente à la personne, les premières choses qui vont être mis en avant c’est ce que nous allons présenter à la personne.

D’autre part il ne faut pas rester trop longtemps, il faut être disponible oui, mais aussi demander le temps de disponibilité à la sœur car le but n’est pas de l’ennuyer, de lui prendre son temps Il se peut qu’elle ai d’autre chose à faire s’occuper de sa famille ou autre, donc juste rester le temps necessaire pour qu’elle soit attentive et concentré, et ceci fait parti de « al adab » et de la méthode de prêche à l’islam.

Avant de commencer le discours sur la religion on doit avoir une discussion qui est très courte sur sa santé sur ce qu’elle fait dans la vie sans rentrer dans les détails pour pas la heurter car peut être vie t elle des moments difficiles. Toujours lui parler avec douceur et générosité ensuite lorsque l’on parle qu’on commence à traiter de l’islam c’est là ou ça devient très important. Il faut parler avec sagesse, douceur et science, mais la science dans le discourt ce n’est pas des choses compliqués mais des choses qui sont à la porté de sa compréhension. Lorsque Allah dit dans le coran sourat An-Nahl n°16 verset 125 « wajadilhoum biallati hiya ahsan» le mot « ahsan » signifie « de la meilleur des manières » mais de la meilleure des manières pour que la personne puisse nous comprendre. On ne lui parle pas forcément de la croyance, on y va pas pour lui donner un cours, car le but n’est pas ça, les cours c’est à la mosquée, on y va pour faire seulement un rappel.

Ar-Rasoul dit « Transmettez de moi ne serait ce qu’un verset » « prévenez les gens de la bonne nouvelle mais ne les faites pas fuir » faire fuir c’est à dire en ayant un discours qui est agressif en se posant en position de professeur comme si on avait pas besoin de leçon a apprendre nous même, qu’on soit constamment à devoir en donner, non, Allah n’accepte pas cela, Il n’agré pas cela. Quand on parle à la personne on se doit de tenir un discours doux, aimable et agréable.

Si la personne n’a jamais entendu de parole de Dieu et du prophète ou que ce n’est pas des paroles qui lui disent quelque chose, qui l’appellent à la religion ce n’est pas la peine de trop parler avec ça car c’est un discourt qui va lui sembler étrange. Il faut lui parler avec des mots qu’elle comprend des mots qu’elle utilise chaque jour et des mot dans lequels elle s’identifie réellement comme nous le dit le Prophète

et aussi Omar Iban al khatab « parler au gens en fonction de leur compréhension »

Il faut se mettre en tête que les « qal Allah » et « qal rasoul » c’est nous qui l’acceptons et non la personne qui est en fasse de nous et qui a peut être une tenue pas correct, qui ne fait pas salat, le

ramadan elle n’en a jamais entendu parler, chez elle plein de bouteille d’alcool, ce n’est pas le moment pour parler de ça avec elle. Il faut un peu prendre connaissance de cette personne, de ce qu’elle est de ce qu’elle vit en y allant doucement, pas la prendre et la jeter dans le bac de l’islam pour la noyer dedans, qu’elle prenne peur et qu’elle se dise qu’on va lui transformer le cerveau, c’est pour ça qu’il faut y aller doucement, ne pas la faire fuir avec un discours étranger, incompréhensible. C’est comme par exemple, si on est amené à parler avec un athée qui nous demande de lui prouver l’existence de Dieu, la véracité de l’Islam, on ne va certainement pas lui répondre avec des versets du coran et des hadiths puisqu’il n’y croit pas car ça n’a aucune valeur pour lui. Ainsi, on s’adresse d’abord au cœur et ensuite à la raison, on attire les gens avec les bonnes paroles :  

Al fadha’il (les bienfaits et les récompenses d’Allah) Kalam targhib (discours qui motivent et qui fait que les gens s’interressent)

la douceur, avec ce qu’elle est capable d’accepter, ce qu’elle est capable de comprendre. La personne à qui on fait le prêche dans le cas présent ce n’est pas une athée mais une personne déjà musulmane mais qui vit à son rythme, qui à un cheminement spirituel qui n’est pas le notre donc on parle en fonction de ce qu’elle est capable de comprendre. Et ce n’est pas parce que la sœur ne porte pas le hijab et qu’elle n’est pas habillé selon la manière islamique que l’on doit faire acte de mauvaise attitude ou de mauvaise considération, on ne doit pas la mépriser car Allah est capable de la guider elle et de nous égarer nous. Selon un hadith, un jour une femme croyante a enfermé une chatte dans une cage et l’a empêché de se nourrir, ne serait ce que de petite bestiole, et elle est morte ainsi et pour ça Allah l’a fait entré en enfer. Que dire alors d’une de nos sœurs que l’on méprise par sa méconnaissance de l’islam ou par certaine phrase qu’elle pourrait dire alors que pour un chat une personne peut entrer en enfer ? C’est pour cela qu’il faut bien mesurer ses propos. Le prophète dit « savez vous qui est moufliss (le pauvre) » les compagnons ont répondu « le pauvre c’est celui qui ne possède ni bien ni argent » alors le prophète dit que le pauvre ce n’est pas ça, le pauvre c’est celui qui a fait la prière qui a fait ses 5 salat qui a donné des biens au pauvre qui a fait tout ce qu’il fallait faire, mais qui n’a pas su tenir sa langue.

Tenir des propos tel « Attention à celui-ci, attention à celui-là, celui-là c’est un égaré, moi je suis le bien guidé moi je sui dans le groupe sauvé je suis meilleur que les autres car je m’attache au coran et la sounna » une personne qui passe son temps à utiliser sa langue sous pretexte de vouloir proteger les musulmans, qui passe son temps à dénoncer untel et untel qui fait soit disant des innovations alors que elle même ne connaît même pas la définition de l’innovation et est elle même dans un groupe perdu plongé dedans et dans lequel elle n’a rien comprit, elle n’est même pas capable de réfléchir par elle même et cette personne là lorsqu’on vient lui parler de l’islam elle fait la sourde oreille elle ne comprend pas et ne voudra jamais comprendre elle ne voudra comprendre que ce qui l’intéresse et que ce qui est comme elle, en d’autre terme c’est « soit tu dis ce que moi je dit soit je ne te suis pas ». Des gens qui sont fermé qui veulent suivre que ce qu’ils prétendent eux être juste alors qu’en réalité lorsqu’on leur parle de religion soit ce qu’on va dire c’est ce que eux ils disent donc ils ne viennent pour apprendre mais pour se conforter dans leur groupe auquel ils appartiennent dans leur position et dans leur obédiences, juste ce qui est comme eux ce qui les ressemblent, dès qu’on sort un nom de

compagnon ou de savant qui n’appartient pas a leur mouvance alors c’est rejeté en bloc. Et à propos d’eux le Prophète langue.

dit que ce sont des « mouflisine » car ils ne savent pas tenir leur

Pour en revenir au autre point à respecter lors du prêche, si la sœur a des goût différent de nous aussi bien dans la tenue vestimentaire que dans le port des bijoux qu’on considère trop luxueux, trop chic on a pas à faire de remarque on a pas a lui dire que le gaspillage c’est haram car si on commence à lui faire des discourt tel « les gens qui gaspillent sont les frère des diables » elle va mal le prendre et son cœur sa raison n’ont pas atteint le stade pour le comprendre, au contraire on lui parle des bienfaits et du luxe qu’il y a dans le paradis, de choses positives.

Ensuite on en vient à la science elle même, ce n’est pas ce qu’on va transmettre, ce qu’on doit dire n’est forcément « qal Allah » « qal rasoul-Lah » mais ce qu’on va dire doit être conforme à la parole de dieu et son prophète. Quand on tient un discourt il ne faut pas mettre trop de verset car on va noyer la personne et elle ne va pas comprendre, par trop non plus de hadith, seulement quelques un authentique bien sûr, pour que dans le discourt ces versets et hadith fassent office de pilote pour que la personne s’y réfère et les retiennent spécifiquement. Il faut dire que ce que l’on comprend ne pas parler de choses que l’on ne maîtrise pas, aussi ces versets et hadith sont choisi de manière à ce que ça concerne directement la personne mais en parlant des efforts des bienfaits des récompenses et non pas avoir des propos tel que « tu ne fais pas la prière tu brûleras en enfer »

On ne lui dit pas ce genre de hadith : « la première chose à propos de laquelle la personne va être jugé est sa prière, sa prière est accepté tout est accepté si elle est refusé tout est refusé » et si la personne a qui on parle ne fait pas la prière, elle va paniquer elle va se dire si elle fait pas sa prière tout le reste est nul donc le ramadan qu’elle fait ne sert à rien .. donc elle arrete de le faire. Il faut donc bien prendre conscience de l’impact que nos paroles peuvent avoir, il faut être méthodique.

Si la sœur perd un peu de son calme, si on a dit des choses pas claires dans notre discourt et qu’on l’a mis un peu en colère, on ne répond pas à ses provocations, on reste calme, on dit que nous aussi on a des défauts, qu’on est pas venu pour la corriger, qu’on est venu d’abord pour revivifier le travail du Prophète ensuite parce qu’on a nous même besoin de ces paroles et qu’on est pas la pour donner des leçons. Le musulman c’est celui dont le musulman ne craint ni la main(les coups) ni la langue (les insultes, menaces, tromperies, hypocrisies) Celui qui a fuit une situation à propos de laquelle Allah n’en ai pas satisfait, ne signifie pas de prendre ses bagages et de partir dans un autre pays mais signifie que lors de situation conflictuel on doit s’éloigner.

Lorsque on a finit le discourt on prend congé de la personne, on fait l’istirfar on demande de nous pardonner parce que probablement on a dit des propos qui lui on déplu puis on demande congé pui on rentre chez nous en faisant l’istirghfar car avec une tel débauche de parole il est probable qu’on ai fait des fautes aussi bien dans ce qu’on a dit, car il se peut qu’on se trompe dans les sources que l’on a donné ce qui arrive car seul le prophète ne se trompe pas

Comme il est dit dans le coran, lorsque le Prophète parle c’est une révélation de Allah alors que nous lorsque nous parlons c’est une révélation de notre compréhension donc on a pas la prétention de dire « tout ce que je dis c’est juste », donc on fait l’istighfar pour être humble devant Allah, pour demander pardon et pour se protéger des méfaits de sheytan qui vient nous dire qu’on a fait une bonne chose une bonne da’wa qui a touché la personne, il na3alahou Lah nous dit ça pour qu’on soit satisfait de ce qu’on a fait pour faire augmenter notre orgeuil notre ostentation jusqu’à nous faire croire qu’on est indispensable, il faut donc ne pas rentrer dans son jeu.

Ar-Rasoul lorsqu’il a quitté Taif après qu’on lui ai lancé des cailloux jusqu’à ce que le sang coagule ses pieds à ses sandales, il ^alayhi salat wa salam a fait une dou’a, il dit « ya allah je me plains à toi de ma faiblesse et du peu d’estime que les gens me portent » il n’a pas dit « ya allah frappes les », non, pourtant Allah lui a envoyé un Ange qui lui dit « si tu veux cette ville, je fais plier sur elle les 2 montagnes qui l’entoure (c’est a dire la mettre en poussière) »

On doit avoir la même manière que le Prophète quand on va voir les gens on demande à Dieu de nous pardonner pour notre faiblesse et notre peu de compréhension et d’amour pour notre religion.

View more...

Comments

Copyright � 2017 NANOPDF Inc.
SUPPORT NANOPDF