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January 14, 2018 | Author: Anonymous | Category: Arts et Lettres, Architecture
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Recenser, conserver, transformer le patrimoine Présentation du recensement architectural du Canton de Genève Nouveaux usages pour le patrimoine bâti Grands domaines, serres et orangeries Jeudi 15 avril 2010 > 18h45 - 21h Les Salons, Rue Bartholoni 6 > Genève

Grands domaines, serres et orangeries Jeudi 15 avril 2010 > 18h45 – 21h Les Salons > Rue Bartholoni 6 > Genève Programme –––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––– Les conférences seront introduites et la discussion animée par Florence Grivel (Espace 2, RTS). Introduction Sabine Nemec-Piguet, directrice générale de l’Office du patrimoine et des sites Allocution Mark Muller, Conseiller d’Etat chargé du DCTI Conférence Le recensement des grands domaines genevois Christine Amsler > historienne de l’architecture Présentation de réalisations architecturales par leurs auteurs Fondation Hardt à Vandoeuvres : orangerie aménagée en salle de réunion et restauration de la serre Bernard Plojoux > architecte Parc Mon Repos à Genève : orangerie de la villa Plantamour aménagée en pavillon d’exposition et d’accueil Tiziano Borghini > architecte associé bureau Ganz et Muller Propriété à Frontenex : orangerie transformée en séjour d’un nouveau logement Charles Pictet > architecte Discussion avec le public Apéritif de clôture

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Recenser, conserver, transformer le patrimoine Présentation du recensement architectural du Canton de Genève Nouveaux usages pour le patrimoine bâti Grands domaines, serres et orangeries Jeudi 15 avril 2010 > 18h45 - 21h Les Salons, Rue Bartholoni 6 > Genève

Grands domaines, serres et orangeries L’office du patrimoine et des sites présente en avril 2010 la dernière des trois conférences sur les patrimoines en mutation : les grands domaines, leurs serres et orangeries. Riche bourgeoisie urbaine et petite noblesse régionale ont de tout temps « colonisé » la campagne genevoise. Le phénomène connaît un réel Age d’Or entre 1600 et 1900. Gagnant en étendue, les grandes propriétés agricoles se complètent de maisons de plaisance et de jardins d’agrément, avec serres, orangeries et fabriques. Le recensement en cours vise à mettre en évidence la notion d’ensemble structuré auquel participent à égalité volumes bâtis, jardins et fabriques, murs d’enceinte, portails, espaces de cour et dégagements visuels sur les lointains. La croissance urbaine et les changements des modes de vie ont imposé une nouvelle interprétation de l’organisation originelle des grands domaines ; suite à des donations, plusieurs d’entre eux sont devenus des espaces publics. Les dépendances des maisons de maître qui abritaient autrefois des activités agricoles offrent aujourd’hui un potentiel bâti de qualité. Le volume, l’orientation et les prises de lumière des serres et des orangeries favorisent l’accueil de nouvelles fonctions. L’enjeu architectural consiste à sauvegarder les aspects légers de ces bâtiments, essentiellement les grandes parties vitrées, en les adaptant aux normes de confort actuel, ainsi qu’aux impératifs de la gestion durable de l’énergie. La restauration des anciennes structures requiert des savoir-faire traditonnels.

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Christine Amsler –––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––– Après une première formation dans la restauration de peinture de chevalet qui l’a amenée à travailler à Zurich, Vienne, Vevey et New York, elle entreprend des études de Lettres à l’Université de Genève, études qu’elle termine en 1991 avec un mémoire dirigé par Leïla el-Wakil : Un aspect du développement urbain à Genève : Les promenades publiques, de la fin du XVIIe siècle à l’Occupation française. Ce travail, élargi à la période de la Restauration, sera publié dans le cadre d’un exposition que la Maison Tavel dédiera à ce thème sous le titre : Les promenades publiques à Genève de 1680 à 1850 (Genève, éd. Musée d’Art et d’Histoire, 1993). Par la suite, nombreux mandats de recherche pour le compte du canton, de la ville et de particuliers, aux nombres desquels on retiendra les publications suivantes: o o

Maisons de campagne genevoises du XVIIIe siècle, en 2 vol. (Genève 1999-2001 - Domus Antiqua Helvetica) Jardin, Jardins – 3 siècles d’histoire des jardins à Genève (Gollion, Infolio, 2008), paru sous la direction conjointe de Christine Amsler, Isabelle Bovay et Miltos Thomaïdes, commissaires de l’exposition homonyme qui s’est tenue en 2008 à l’Institut et Musée Voltaire logés aux Délices.

Membre de la Commission des monuments de la nature et des sites 2002-2006. Collaborations ponctuelles avec des architectes et des architectes-paysagistes.

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Le recensement thématique des grands domaines de plaisance

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A l’échelle de la Suisse, le canton de Genève compte sans conteste la plus forte densité de domaines de plaisance des XVIIe, XVIIIe et XIXe siécles, certains plongeant leurs racines loin dans le moyen âge, voire même dans l’antiquité gallo-romaine. Au fil des générations, à la faveur d’une longue et patiente succession d’améliorations foncières, agricoles et paysagères, ces grandes propriétés en campagne alliant l’agréable à l’utile ont façonné le territoire. De par leur envergure, la qualité d’ensemble de leur cœur bâti et aménagé, la scénographie toute en simplicité de leurs jardins d’agrément et le raffinement de leur architecture et des décors intérieurs, ces grands domaines constituent à n’en pas douter une catégorie patrimoniale d’importance majeure pour Genève. L’exiguïté du territoire et le charme d’une topographie vallonnée multipliant les dégagements sur d’agréables lointains ont certes contribué à cette forte concentration. Toujours est-il que le réel moteur de cet essor est à chercher non pas en campagne, mais du côté de la ville de Genève et de ses riches familles bourgeoises actives dans le négoce international et siégeant pour la plupart dans les organes gouvernementaux de la cité-Etat. Ce sont elles - de même que la petite noblesse savoyarde ou gessienne - qui détiennent ces grands domaines en campagne, domaines dont l’exploitation est invariablement confiée à des tiers, fermiers ou « grangers ». Ce sont elles aussi qui, au gré de leurs goûts et de leurs possibilités financières, s’activeront à embellir leur fonds agricole d’une maison de plaisance environnée de jardins d’agrément pour y couler les plus beaux mois de l’année. Longuement discutés et réfléchis, les travaux de construction et d’aménagement qui y sont effectués tirent parti de projets parfois directement importés de l’étranger ou le plus souvent largement inspirés d’eux et adaptés aux mœurs plus simples de la région. Au fil du XIXe siècle, le grand domaine, muni ou non d’aménagements de plaisance d’envergure, connaît un progressif désinvestissement de sa composante agricole au profit d’une extension de l’aire dédiée au jardin, traitée comme un morceau de paysage. Son étendue tend d’ailleurs à diminuer. 2 Alors qu’au XVIIIe siècle, un grand domaine embrasse au minimum 10 ha , les campagnes créées de toute pièce au XIXe siècle - souvent par démembrement d’une propriété plus grande -, avoisinent les 6ha, un chiffre descendant même à 3 ha environ pour les propriétés à fleur d’eau. En contrepartie ces domaines de plaisance se dotent de magnifiques serres et orangeries pour y cultiver des fruits de primeur ou des plantes méditerranées ou tropicales d’importation récente concourant à renouveler l’esthétique des jardins. Le recensement thématique des grands domaines, qui est encore en cours, s’appuie sur les 3 recensements existants . Il ambitionne cependant de considérer ces propriétés comme des ensembles structurés et organisés auxquels participent tout à la fois les volumes bâtis, les espaces non bâtis (cours, circulations extérieurs) ainsi que les jardins et éléments de composition paysagère. Le travail doit déboucher sur des propositions de mise à jour des mesures de protection. Christine Amsler Historienne de l’architecture régionale et de l’art des jardins

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La locution « grands domaines de plaisance » sert, dans la révision de la Loi sur les constructions et installations diverses (LCI), du 27 avril 1940, introduisant la notion de zones, à établir une distinction entre ces grandes propriétés à composantes de villégiature et les exploitations à vocation essentiellement agricoles. Elle a le mérite d’être concise mais ne recouvre de loin pas l’ensemble du phénomène des grands domaines nobles et bourgeois à travers des siècles. 2 Dominique Zumkeller, Le paysan et la terre : agriculture et structure agraire à Genève au XVIIIe siècle, Genève (éd. Passé Présent) 1992, p. 96. 3 C’est-à-dire : le recensement géographique des villages et hameaux (dit « recensement Bory »), les compléments de recensement de l’Etude de la Maison rurale à Genève,. et le recensement ICOMOS des jardins historiques.

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Bernard Plojoux –––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––– Né à Genève en 1941 de nationalité suisse. Autodidacte, il étudie l’architecture et travaille dans les ateliers d’architecture Otto Glaus à Zurich et Guy de Herdt à Genève. Il débute son activité d’architecte indépendant et ouvre son atelier en 1970. Son approche de la conception architecturale lui permet d’aborder tout type d’intervention : constructions nouvelles, réhabilitations, restaurations et rénovations Membre du Registre Suisse des Architectes (REG depuis 1973) Membre de l’Association Genevoise des Architectes (AGA) depuis 1983 Membre de la Société des Ingénieurs et Architectes (SIA) depuis 1992 Il s’associe avec sa fille architecte EPFL, sous l’entité Plojoux & Voellinger architectes en 2007. (www.plojoux.com) Historique L’origine du domaine, constitué par le banquier Charles Lecointe, se situe au début du 18ème siècle. Le Baron Hardt a acquis la propriété en 1949. Le domaine de la Fondation Hardt d’environ 2 Ha comprend aujourd’hui les éléments suivants : une Maison de Maître (bâtiment principal) une bibliothèque (ancienne écurie) un jardin avec une Orangerie et une serre un grand parc arboré La Maison de Maître restaurée en 2004/2005 a retrouvé l’aspect que lui avait donné l’architecte Samuel Darier vers 1860, avec intérieurs ornés de faux marbres, boiseries en faux bois etc .. La dépendance a été aménagée en bibliothèque. Le jardin aménagé au 19ème siècle par les propriétaires Périer-Ador comprend une orangerie et une magnifique serre fabriquée à Genève par les frères Schmied. Ces deux bâtiments édifiés en 1860 sont réalisés avec des caves voutées, un couloir souterrain relie ces constructions. La restauration a été réalisée en 2008. Réhabilitation et aménagement de l’Orangerie et de la serre Avant les travaux de restauration la serre et l’Orangerie étaient dans un état de délabrement avancé. La plupart des vitrages étaient brisés, les structures métalliques rouillées et désagrégées ; les peintures avaient disparu et tout était laissé à l’abandon ; les crépis, les pierres de taille «fatigués», la charpente pourrie … bref l’ensemble se trouvait dans un état de vétusté avancée. Prise de position L’enjeu a été de remettre en état et dans l’esprit de l’identique, une serre et une orangerie pour une affectation différente. Pour des raisons évidentes, notamment financières, il n’est plus pensable aujourd’hui d’occuper une armée de jardiniers pour faire vivre deux bâtiments. La réponse a été de transformer l’Orangerie en salle de conférence et la serre en espace de réception. Ces deux éléments utiles au fonctionnement de la Fondation ont permis la réalisation des travaux qui ont pu ainsi donner une seconde vie à ces deux bâtiments.

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Fondation Hardt, orangerie et serre (B. Plojoux)

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Tiziano Borghini –––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––– Architecte EPFL – SIA, Associé bureau Ganz & Muller Né le 25 février 1971 à Genève. De nationalité suisse & italienne. Marié, 2 enfants. Langues : Italien, anglais, allemand Etudes et formations professionnelles : 1997 Diplôme d’architecte à l’EPFL. Scolarité à Genève, double maturité latine & moderne Activités professionnelles : 2007 Association avec Antoine Muller & Christophe Ganz 1997-2006 Collaborateur principal au bureau Ganz & Muller architectes 1993-1994 Collaborateur au bureau Progetti Integrati, Firenze, Italie 1994 Suivi de diplôme, professeur Breschi, faculté d’architecture Université de Florence 1992 Collaborateur à temps partiel au bureau Galeotto achitecte, Genève

Rénovation du pavillon Plantamour au Parc Mon-Repos – Genève Maître de l’Ouvrage : Ville de Genève – Service d’architecture Surface construite : 110m2 Type de construction : rénovation d’un bâtiment historique inscrit à l’inventaire XIXè s. Intervention portant sur un pavillon situé au coeur d’un des plus beaux parcs de Genève et initialement construit comme une orangerie. Dans l’objectif de l’ouvrir au public, il accueille désormais le siège d’une association pour une sensibilisation publique et particulièrement des enfants à l’environnement (faune et flore) indigène. L’idée du projet est de restaurer le volume original, intact, et d’y poser un meuble long (réception, bar, place de travail, banc et tables amovibles) en bois massif autour duquel se déroulent les activités. Le travail s’est concentré sur la fluidité de l’espace et le rapport harmonieux entre les matériaux existants restaurés et les matériaux nouvellement mis en oeuvre (crépis à la chaux intérieurs et extérieurs, chape brute, ciment au sol, bois massif huilé). Pour la façade principale, une nouvelle peau isolante a été mise en place de manière indépendante et détachée de celle existante, rafraîchie et repeinte. Les nouvelles serrureries ont été travaillées en panneaux coulissants sur rail, ce qui, en été, dégage une très grande partie de l’ouverture sur le parc. Les cadres et parcloses de ces éléments ont été élaborés dans la limite minimale des sections et de la statique des cadres. Leur impact visuel est ainsi réduit, et ils s’intègrent parfaitement à la finesse globale des serrureries simples des vitrages existants. Tous les mécanismes d’ouvrants historiques en façade et en toiture ont été conservés et remis en état de fonctionnement. Ces derniers sont commandés par des vérins électriques. La verrière en toiture a été entièrement refaite en verre isolant avec des filtres anti-solaires dans le respect des profilés existants. Sur cette verrière, des stores en mélèze ajourés ont été rapportés avec les axes d’enroulement en partie basse de manière à minimiser l’impact visuel de la verrière sur sa partie haute. Le thème de l’apprentissage et de la reconnaissance de la faune et flore indigène s’est aussi traduit dans cette intervention par un choix particulier de matériaux et de mise en oeuvre. Le meuble central se compose de bois indigènes massifs assemblés en pont de navire avec joint négatif horizontal. Ce sont le chêne, le frêne, l’érable, le noyer, le cerisier, l’orme et l’hêtre. Chaque essence se présente ainsi avec ses veinages, son odeur, sa couleur particulière. Au sol, l’exécution de la chape ciment glacée s’est enrichie d’empreintes d’animaux indigènes que les visiteurs découvrent sous forme de jeu de piste et de reconnaissance. Elles racontent et révèlent dans leurs positions et leurs mouvements respectifs les propres spécificités de chaque animal.

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Pavillon Plantamour, Parc Mon-Repos (Borghini, Ganz & Muller)

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Charles Pictet –––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––– Né en 1963 à Ankara, il étudie l’architecture à l’EAUG et au polytechnique de Florence. Diplômé en 1996 il travaille dabord à Berlin puis débute à Genève avec ses premières réalisations en 2000 avant de fonder son bureau actuel en 2002. Dès ses premiers projets, il a eu l’opportunité de travailler sur des restaurations et des réhabilitations touchant à des bâtiments anciens de grande qualité. Cette particularité des commandes ont permis à son bureau de pratiquer la conception de projets en parallèle d’un apprentissage constant des questions liées à la conservation. Restauration et transformation d’une orangerie dans l’ancienne campagne Saladin à Frontenex-Dessus ème

siècle, La maison principale de la propriété de Frontenex a été construite en 1732. Au début du 19 les jardins sont entièrement remodelés dans un style paysager. En 1814 une orangerie est construite au fond d’un jardin clos. Une serre chaude lui est encore accolée en 1819. En 2006 ce bâtiment qui était encore dans son état d’origine et qui servait encore d’orangerie était menacé d’effondrement par absence d’entretien. Les propriétaires ont souhaité restaurer cette orangerie et en faire un logement. L’enjeu principal du projet de restauration a été de concevoir une façade vitrée destinée à un espace intérieur habitable qui respecte l’aspect original du bâtiment tant dans son apparence extérieure et intérieure que dans les mécanismes d’ouvertures. L’autre enjeu a été de lui accoler un élargissement pour compléter le programme d’habitation.

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Transformation d’une orangerie à Frontenex (C. Pictet)

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