TEXTE DE PRESSE YEARLY MARKETING SURVEY 2011

January 8, 2018 | Author: Anonymous | Category: Arts et Lettres, Communication, Marketing
Share Embed Donate


Short Description

Download TEXTE DE PRESSE YEARLY MARKETING SURVEY 2011...

Description

TEXTE DE PRESSE

YEARLY MARKETING SURVEY 2011 – Le marketeer se trouve face à d’importants défis Malines – avril 2011 The House of Marketing, en collaboration avec la Fondation Marketing et Profacts, ont réalisé pour la huitème fois l’Enquête Marketing Annuelle auprès de 577 marketeers. Le marketeer a retrouvé la confiance et est optimiste en ce qui concerne le budget, les projets et son équipe. Pourtant le contexte est devenu très différent depuis les périls de la crise et les évolutions technologiques. Un ajustement de structure est nécessaire, une autre manière de travailler, d’autres compétences et priorités. 2010 était l’année de la relance L’Index de Confiance Marketing est revenu au niveau de 2008 et s’élève à 25,7% (vs 2010 : 6,0%). 70% des marketeers s’attendent à une nette augmentation du nombre de projets, 47% prévoient davantage de budget et 34,5% pensent que leur équipe marketing s’agrandira. Et la situation est même plus positive que prévu en 2009 : le nombre de projets a significativement dépassé les attentes. Cette année également, l’augmentation du nombre de projets semble plus importante par rapport au budget et à l’équipe. Nous pouvons penser que la pression va subsister et que les mêmes ressources devront être utilisées de manière plus efficace et intelligente. En outre, le marketeer devra assumer plus de responsabilité au niveau de ses résultats. Il est autorisé à tester de nouvelles tactiques mais il devra fournir davantage d’efforts en termes de ROMI (Return on Marketing Investment).

Les médias sociaux produisent toujours le plus de « buzz », suivi par le marketing mobile Les médias sociaux se trouvaient déjà en 2010 en tête de liste en terme de buzz. Cette tendance est confirmée cette année. En outre, le marketing mobile émerge de manière remarquable (70% des marketeers pensent que le marketing mobile devient plus important en 2011). En tant que Belges, nous sommes déjà un peu en retard dans ce domaine par rapport à nos collègues européens : seulement 12% des téléphones mobiles sont des smartphones comparé à la moyenne européenne de 17%. Nous devrons rapidement rattraper ce retard puisqu’il est prévu que le nombre d’utilisateurs d’internet mobile dépassera le nombre d’utilisateur d’internet de bureau en 2014. Le marketing basé sur la localisation offre notamment des opportunités : interaction avec le consommateur au moyen d’une offre adaptée à l’endroit où il se trouve, afin de promouvoir la loyauté et les échanges sociaux. Relevance et conversation 52,51% des marketeers considèrent « créer des produits et services plus relevants » comme le défi le plus important. La relevance consiste à améliorer véritablement la vie du consommateur. Le marketeer doit se demander ce qui a vraiment du sens, et si offrir autant de choix crée toujours de la valeur incrémentale. Egalement, comment traiter tous ces points de contact, comment se connecter sans bombarder le consommateur d’information qu’il n’a pas demandée ? Le deuxième défi important est « créer un dialogue avec le consommateur ». Le pouvoir de ce dernier s’est accru grâce aux évolutions médiatiques et technologiques, et il peut se mélanger à l’histoire du marketeer. Les marketeers doivent écouter et offrir des réponses ouvertes et transparentes. Ceci exige de nouvelles compétences, d’autres structures et de nouvelles responsabilités.

Les clients sont moins loyaux et plus sensibles au prix Plus de la moitié des marketeers sont préoccupés par une baisse de loyauté par rapport aux marques et une augmentation de sensibilité au prix. Logique : le consommateur d’aujourd’hui est véritablement informé, vérifie, compare, demande des explications… en un clic. Le mix de communication se complique Les tactiques et médias de communication sont définis par les défis et menaces du marketeer. Il est logique que les marketings direct et online gagnent en importance, puisque ce sont les moyens idéaux pour engager directement la conversation, rassembler les connaissances au sujet du consommateur et proposer une offre adaptée. Les médias traditionnels ne disparaissent pas pour autant (bien que le sponsoring soit déjà sous pression). Ils doivent quand même s’adapter afin de rester attractifs pour les annonceurs. Les journaux se sont ainsi réinventés en créant une version digitale et des applications mobiles. La télévision, la radio et les magazines cherchent à intégrer l’online… les médias traditionnels sont devenus davantage des marques que des médias, des éléments de lifestyle avec lesquels les marques veulent et peuvent se connecter de manière véritablement rentable. De toute façon : même si les marketeers prévoient des budgets en augmentation, les médias que l’annonceur « mérite » (Facebook, Twitter, SEO, blogs…) deviendront plus importants, contrairement aux médias « payants » (média traditionnel, bannering, …) La barrière des 70% du marketing online 70% seulement des marketeers belges investissent dans la construction d’un site web et 66% seulement en email marketing. Ceci est surprenant. Cela ne devrait-il pas être 100% ? Le fait que 70% des marketeers utilisent les médias sociaux est positif mais nous ne pouvons pas perdre de l’esprit les bases du marketing online. Les marketeers ne maîtrisent pas encore l’online. Il leur manque les compétences nécessaires, ils se demandent ce qu’ils doivent y raconter, comment ils peuvent utiliser les médias sociaux pour vendre, comment le ROI des campagnes online peut être calculé… Ils ont encore du chemin à parcourir avant de pouvoir « manier » le dialogue online et adapter le contenu en fonction du feedback du consommateur.

Het Conclusion La matière du marketing évolue vite. Du point de vue du contenu, il ne s’agit plus seulement de la « marque » et du « message cohérent ». Le marketeer reçoit davantage de responsabilité en termes de rentabilité, de création de valeur ajoutée et d’implémentation par les nouveautés technologiques. La mesure efficace de ses efforts devient bien plus importante. Par conséquent, le profil du marketeer évolue selon les besoins suivants : des compétences plus analytiques et financières, une vision stratégique et des connaissances technologiques qui constituent la base des nouvelles tactiques marketing. Les firmes recherchent des marketeers curieux qui ont une obsession du consommateur, qui sont attentifs aux opportunités et qui ont la créativité nécessaire pour lancer des initiatives et les mener au succès.

Pour plus d’information, veuillez contacter Caroline Vervaeke Managing Consultant, The House of Marketing GSM: +32 475 96 16 96 Email: [email protected]

Ou surfez sur www.thehouseofmarketing.be

View more...

Comments

Copyright � 2017 NANOPDF Inc.
SUPPORT NANOPDF