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January 8, 2018 | Author: Anonymous | Category: Arts et Lettres, Sciences des religions, Islam
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Islam

Statut social de la femme Droit de vote

Droit de demander un divorce

Droit à la propriété

Les femmes possèdent le droit de vote et participent activement à la vie politique et dans les prises de décisions depuis 1400 ans (depuis la venue de l’islam). Les femmes peuvent se présenter pour poste politique. Rôle significatif dans discussion politiques. Entrées en débat avec le prophète. Historiquement, on leur a accordée plusieurs responsabilités politiques et sociales, participation à la gestion d’affaires importantes de l’État. http://mic.com/articles/29739/believe-it-or-not-islam-has-actually-extended-andprotected-women-s-rights Nusaybah bint Ka’ab a participé au traité de Hudaybiyyah http://muslimgirl.net/6659/the-empowered-warrior/ L’islam déconseille fortement le divorce. Normalement, le droit au divorce revient à l’homme. Par conséquent, la femme ne peut demander un divorce sans excuse valable. Cependant, elle peut excercer ce droit dans certains cas, par exemples lorsque le mari ne lui accorde pas ses droits, abuse d’elle, si le mari maltraite sa femme (violence physique et verbale, quand le mari n’accomplit pas ses responsabilités envers sa femme , ne peut plus ou ne veut plus la supporter financièrement (même si la femme est riche), dans la situation ou le couple se dispute au point de ne plus pouvoir se respecter, si le mari est impotent, a une maladie comme la lèpre qui rend difficile de vivre avec lui..etc. Voir liste 1)http://islamqa.org/hanafi/daruliftaa/7731 2)http://islamqa.org/hanafi/daruliftaabirmingham/19485 3)http://islamqa.org/hanafi/askimam/28738 Si la femme est arrivée de posséder une propriété avant le mariage, elle conserve(retient) cette propriété après le mariage. Il reste dans son contrôle. Aussi, dans la plupart des pays Musulmans, la femme garde son propre nom de famille(dernier nom) et sa propre identité. Si la femme a des revenus pendant sa vie matrimoniale, par les investissements de sa propriété ou en conséquence du travail, elle ne doit pas dépenser un sou de ce revenu sur le ménage, c'est l'entièrement sien. Si elle désire le faire, c’est considéré comme une charité/cadeau envers la famille.

Droit de servir comme militaire

Le maintien complet et le support d'une femme mariée sont la responsabilité entière de son mari, bien qu'elle puisse être plus riche qu'il est. Elle ne doit pas dépenser un sou. http://www.islamswomen.com/articles/do_muslim_women_have_rights.php La femme musulmane n’est pas incombée de se battre lors des guerres, c’est une responsabilité qui revient aux hommes. Cependant, des Hadith prouvent que des femmes étaient présentent sur le champ de bataille lors de la bataille de Uhud pour venir en aide aux soldats. Parmi elles Nusaybah bint Ka’ab est la plus célèbre pour ses efforts courageuses. Lorsqu’elle a vu le Prohète en danger, alors qu’initialement elle devait apporter de l’eau aux soldats, elle a pris une épée et des flèche et s’est précipitée à la défense de celui-ci. Elle était parmi les gens qui ont protégé le Prophète, elle a reçu plusieurs blessures et le Prophète lui a remercié et fait des louanges.

Droit à l’éducation Droit au mariage

Droit à la citoyenneté

http://muslimgirl.net/6659/the-empowered-warrior/ Beaucoup de femmes musulmanes ont aidé dans le champs de batailleen fournissant de l’eau et en donnant les premiers soins aux soldats. Vérifier sur dans Al-Bukhari, où il y a apparemment toute une section sur le sujet. http://www.islamawareness.net/Women/naik_women.html S’éduquer est une obligation pour tous les Musulmans et Musulmanes et représente une acte d’adoration (culte). Enlever le droit à l’éducation à une femme musulmane est contre la loi islamique. « [...] Dieu élèvera en degrés ceux d’entre vous qui auront cru et ceux qui auront reçu le savoir [...] » Coran 58/11 La femme musulmane a le droit choisir librement son époux. En effet ,la femme musulmane a toute latitude de refuser ou d’accepter une demande en mariage

"Khansâ' bint Khidhâm al-ansâriyya vint se plaindre au Prophète (sur lui soit la paix) que son père l'avait mariée contre son gré, alors qu'elle était Thayyib. Le Prophète annula alors son mariage" (al-Bukhârî, 4845, Abû Dâoûd, 2101) ;

La femme musulmane a un statut politique égale à l’homme. Économiquement, elle représente une entité légale indépendante. http://www.gainpeace.com/index.php?option=com_content&view=article&id=52&Itemi d=135 http://www.gainpeace.com/index.php?option=com_content&view=article&id=122:equality-ofmen-and-women-in-islam&catid=54&Itemid=122

Droit de passer un contrat Droits parentaux

Droit de travailler et de recevoir un salaire égal à celui de l’homme, de dépenser librement

Le père est tenu de garantir à ses enfants leur subsistance dés leur naissance, voire avant celle-ci, dés lors que l’Islam fait obligations au père d’assurer à la femme à sa charge matérielle. Dieu (swt) a recommandé dans ses verset : « [...] et si elles sont enceintes, pourvoyez à leurs besoins jusqu’à ce qu’elles aient accouché [...] » Coran 65/6. « [...] puis si elles allaitent [l’enfant né] de vous, donnez-leur leurs salaires. Et concentrez-vous [à ce sujet] de façon convenable [...] » Coran 65/6 « Et les mères qui veulent donner un allaitement complet, allaiteront leurs bébés deux ans complets. Au père de l’enfant de les nourrir et les vêtir de manière convenable [...] » Coran 2/233. Le droit de garde accordé à la mère est largement justifié : « Dieu, dans son immense sagesse, a donné la garde des enfants à la mère parce que son amour pour ses enfants et sans limite [...] » http://www.aslim-taslam.net/article.php3?id_article=234 - l’Islam a permis à la femme d’exercer toutes les fonctions et d’accomplir les travaux licites convenant à sa nature. http://www.aslim-taslam.net/article.php3?id_article=234

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L’Islam n’a pas interdit à la femme de travailler, bien au contraire, il lui a permis de procéder à des transactions commerciales et financières qui sont valables même sans le consentement du tuteur ou de l’époux. http://womeninislam.ws/fr/le-travail-de-lafemme.aspx Par contre, pas de mixité et promiscuité avec les hommes + Il faut que le travail soit à la base un travail licite et compatible avec la nature de la femme : elle ne doit pas travailler dans les domaines incompatibles avec sa nature comme les industries lourdes et les travaux liés à la guerre et ceux qui la rabaissent comme les travaux de nettoyage spécialement réservés aux hommes, le nettoyage des rues que la Charia n’admet pas pour la femme.

-Dieu, le Très Haut dit : « Ne convoitez pas ce que Dieu a attribué aux uns d’entre vous

plus qu’aux autres ; aux hommes la part qu’ils ont acquise, et aux femmes la part qu’elles ont acquise. Demandez à Dieu de sa Grâce. Car Dieu, certes , est Omniscient. » Coran 4/32 La femme, comme l’homme, peu maîtriser les valeurs économiques et en disposer selon l’intérêt. En effet, le droit à la propriété est garanti en Islam par les textes du Coran et de la Sunna, quelle que soit la nature de cette propriété (argent, bien immobiliers, terres agricoles, etc.).

Droits de succession

Les femmes ont le droit d’hériter. « Aux hommes revient une part de ce qu’ont laissé

Sécurité financière (et dans le cas du divorce), dot lors du mariage

Si la femme travaille pour survivre et se prendre en charge, l’Islam lui a garanti ce droit, car le régime de la prise en charge en Islam enjoint au père de prendre la charge de sa fille jusqu’à ce qu’elle se marie, après quoi sa charge et celle de ses enfants reviennent à son mari ; si son mari meurt, cette charge revient à nouveau chez son père ; s’il ne vit plus, celle-ci revient à ses enfants et si ses enfants sont en bas âge, cela revient à ses frères et ainsi de suite, aux plus proches parents. Elle est ainsi prise en charge, de la naissance à la mort et n’a pas besoin de travailler pour manger et vivre. On lui accorde tout cela pour qu’elle se consacre exclusivement à la délicate mission qui consiste à prendre soin du foyer et éduquer sainement les enfants, mission qui exige d’elle un effort immense et beaucoup de peine. http://womeninislam.ws/fr/le-travail-de-la-femme.aspx

père et mère ainsi que les proches ; et aux femmes une part de ce qu’ont laissé les pères et mères ainsi que les proches, que ce soit peu ou beaucoup ; une part fixée. » Coran 4/7 Par contre, pas la même portion que l’homme

L’Islam a garanti à la femme le droit à être prise en charge matériellement. Il a imposé cette obligation à l’homme - qu’il soit père, époux ou fils - en exemptant la femme de toutes charges économiques du foyer, tout en protégeant l’ensemble de ses droits civils et financiers. Ainsi, la femme mariée possède ses propres biens. C’est à l’époux qu’à été attribuée la charge des dépenses du foyer et de sa femme. C’est là une des marques de la grande sollicitude de l’Islam envers la femme. http://www.aslimtaslam.net/article.php3?id_article=234

Droit à la dot : « Et donnez aux épouses leur matin (dot) de bonne grâce [...] » Coran 4/4. C’est l’époux qui est obligé de verser la dot. Celle-ci est un droit absolu pour la femme. Sans elle le mariage n’est pas valable.

Droit à l’avortemen t (interruptio n volontaire de grossesse) Droit de témoignage

L’islam considère l’interruption volontaire d’une grossesse comme étant un péché. La femme musulmane ne possède donc pas le droit à l’avortement.

Les femmes peuvent témoigner, mais Le Coran rend le témoignage de l’homme égal à celui de deux femmes (dans les affaires financières) « Ô les croyants ! Quand vous contractez une dette à échéance déterminée, mettez-la en écrit ; et qu’un scribe l’écrive, entre vous, en toute justice ; un scribe n’a pas à refuser d’écrire selon ce que Dieu lui a enseigné ; qu’il écrive donc, et que dicte le débiteur : qu’il craigne Dieu son Seigneur, et se garde d’en rien diminuer. Si le débiteur est gaspilleur ou faible, ou incapable de dicter lui-même, que son représentant dicte alors en toute justice. Faites-en témoigner par deux témoins d’entre vos hommes ; et à défaut de deux hommes, un homme et deux femmes d’entre ceux que vous agréez comme témoins, en sorte que si l’une d’elles s’égare, l’autre puisse lui rappeler. » (sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, verset 282). devant la Loi islamique, les deux sexes ont droit à la même égalité. http://www.islamophile.org/spip/Laposition-de-l-Islam-quant-au.html La justice n’a pas de sexe. D’après le Coran, hommes et femmes reçoivent la même punition pour les crimes tels que le vol (5 : 38 [1]), la fornication (24 : 2 [2]), le meurtre ou les blessures corporelles (5 : 45 [3]). Selon la majorité des jusristes,le témoignage de la femme ‘est pas recevable dans les

affaires de crimes majeurs, ainsi que dans les affaires requérant l’application du talion, cette exclusion s’explique par le fait qu’on veut protéger la femme et lui éviter les scènes de crimes et de violence contre les personnes, contre l’honneur ou contre les biens. Il est ainsi fréquent de voir une femme fermer les yeux ou fuir de panique devant une scène sanglante ; en conséquence, il devient difficile pour une telle femme de rendre compte de manière fidèle des circonstances du crime. égalité entre le témoignage des deux sexes : 4] Sourate 24 intitulée la Lumière, An-Nûr : 6. Et quant à ceux qui lancent des accusations contre leurs propres épouses, sans avoir d’autres témoins qu’eux mêmes, le témoignage de l’un d’eux doit être une quadruple attestation par Dieu qu’il est du nombre des véridiques, 7. et la cinquième [attestation] est ‹que la malédiction de Dieu tombe sur lui s’il est du nombre des menteurs›. 8. Et on ne lui infligera pas le châtiment [de la lapidation] si elle atteste quatre fois par Dieu qu’il [son mari] est certainement du nombre des menteurs, 9. et la cinquième [attestation] est que la colère de Dieu soit sur elle, s’il était du nombre des véridiques

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Droit de signer avec son nom (nom de famille du mari)

La femme garde son nom (nom de famille de son père) et son identité après le mariage.

La femme musulmane ne peut voyager seule, sans un proche (mari, père, fils ou autre homme avec qui le mariage n’est pas permis. : « La femme ne doit voyager qu’avec un proche parent (mahram) et aucun homme ne doit entrer chez elle qu’en présence d’un proche parent ». Alors un homme s’écria : Ô Messager d’Allah ! Je voudrais sortir en expédition dans telle ou telle armée alors que ma femme est sortie pour le pèlerinage. –Vas avec elle, lui dit-il. (Al Boukhari (2/658), hadith n° 1763.)

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