Types de vaccins

January 8, 2018 | Author: Anonymous | Category: Science, Médecine, Immunologie
Share Embed Donate


Short Description

Download Types de vaccins...

Description

Un vaccin procure un soutien au système immunitaire humain en le préparant au mieux contre les attaques de certains agents pathogènes tels que virus, bactéries ou autres micro-organismes. Son action pourrait être comparable à celle d'un cours d'autodéfense: tout individu préparé et entraîné de façon conforme ne sera pas surpris par une éventuelle attaque et réagira de façon correcte. 1er vaccin :1796, Edward Jenner, inocule à 1 enfant du pus ctaminé / la « vaccine » (la variole des vaches). Recommence opérat° 3 mois + tard avec variole humaine cette fois : garçon pas malade : princpe de la vaccination est né et le premier vaccin aussi : on pratiquait une incision sur peau pr y implanter le fluide varioleux. A l’époque on parlait de variolisation (pas de vaccin) -> Faudra attendre Pasteur pr que le terme de « vaccin » soit employé pr 1ère fois. livre Louis Pasteur pas père de vaccination mais premier à utiliser ce terme en hommage à Jenner et à sa vaccine pr baptiser procédé qu’il venait de découvrir. Malgré tout, les agents infectieux auront la possibilité de franchir cette paroi protectrice comme dans le cas de plaies ou lorsque l'individu concerné est affaibli (par exemple, à la suite d'une transplantation d'organe ou d'un traitement anti-cancéreux spécial). C'est à ce moment-là que le système immunitaire se met en mouvement. Le système immunitaire n'est pas un organe en tant que tel, dans le sens classique du terme, il s'agit plutôt d'un réseau à interactions complexes.Y participent les vaisseaux et les ganglions lymphatiques, la moelle osseuse, le sang circulant, la rate et le thymus. Le système immunitaire a une propriété importante: il reconnaît les molécules de son propre organisme et celles qui lui sont étrangères. Cette possibilité est due au fait que les cellules de l'organisme possèdent à leur surface une protéine dénommée MHC (major histocompatibility complex). La protéine MHC est comparable à une «carte de membre»: le système immunitaire reconnaît la cellule de son propre organisme et la laisse tranquille. Divers acteurs font partie du système immunitaire; il s'agit essentiellement des cellules sanguines ou de facteurs qui en découlent : Les macrophages sont des phagocytes. Ils s'accolent à l'agent pathogène, l'annexent et l'ingèrent (ce procédé s'appelle phagocytose).Ils se trouvent dans l'ensemble de l'organisme et réagissent dès qu'ils détectent un intrus. Les granulocytes, un groupe appartenant aux globules blancs, fonctionnent de la même manière. Ils sont eux aussi spécialisés dans la détection et l'ingestion d'agents pathogènes. Le corps produit environ 100 millions de granulocytes par jour. Les lymphocytes T se nomment ainsi parce qu'elles terminent leur développement dans le thymus après avoir pris naissance dans la moelle osseuse. Elles constituent une partie importante du système immunitaire et ne reconnaissent qu'un seul agent pathogène à la fois grâce à une structure définie de leur surface (antigène). Après avoir réussi une réaction défensive, quelques cellules T spécialisées vont rester sous forme de cellules mémoire (mémoire immunologique). Les lymphocytes B sont responsables entre autres de la production d'anticorps isolés. Les anticorps sont capables de se fixer de façon spécifique et très précise sur la surface d'un agent pathogène. Cet agent pathogène est ainsi marqué, ce qui va lui permettre d'être reconnu et d'être détruit par d'autres cellules immunitaires telles que les phagocytes par exemple.

Immunité innée et immunité adaptive Réponse immunitaire innée : fait appel à des mécanismes de défense ne nécessitant aucun apprentissage et mettant en jeu des cellules spécialisées. Type de défense qui existe chez tous êtres vivants pluricellulaires. Types de cellules : macrophage – cellule dendritique – mastocyte – granulocyte – phagocyte Réponse immunitaire adaptive : les mécanismes mis en jeu s’élaborent face à un intrus donné et font intervenir des cellules spécialisées comme les lymphocytes B et T. La rencontre avec un intrus est mise en mémoire (contrairement à l’immunité innée), une deuxième rencontre avec le mm élément est bcp + efficacement traitée.

Types de vaccins Les vaccins sont habituellement inoculés par injection, mais ils peuvent l'être par voie orale (ce qui a permis de presque éliminer la rage de l'Europe des 12 par des appâts vaccinants contre la rage distribués aux renards dans la nature) et des vaccins par spray nasal sont en cours d'essai (ex. : vaccin antigrippal NasVax en Israël), voire déjà utilisés (vaccins contre la grippe saisonnière ou contre la grippe pandémique aux États-Unis). La matière vaccinale elle-même est classée selon sa nature en quatre catégories : Vaccins issus d’agents infectieux inactivés Au début, on utilisait principalement des vaccins inactivés, fabriqués à partir de germes (ou de leurs fragments), détruits avec du formol ou de la chaleur pour leur faire perdre leur virulence, mais dont on gardait l’enveloppe ou une toute petite partie pour qu’ils puissent faire réagir le système immunitaire. Procédé qui concerne vaccins contre grippe, coqueluche, tétanos, … livre Une fois les agents infectieux identifiés et isolés, on les multiplie en très grand nombre avant de les détruire chimiquement ou par la chaleur. Cependant, ils conservent tout de même leur capacité à provoquer une réaction immunitaire. De cette façon des vaccins sont produits par exemple contre la grippe, la poliomyélite (injectable), le choléra, la peste ou l’hépatite A. Des informations récentes laissent supposer que les agents pathogènes peuvent être électrocutés. Cette méthode, appliquée en dehors des précédentes, permet d'élargir la gamme des moyens d'éradication des micro-organismes infectieux, aussi bien pour les souches d'origine bactérienne que virale, etc. Vaccins issus d’agents vivants atténués Mis au point à partir de germes affaiblis naturellement u par mutation artificielle. Difficultés consiste dans ce cas à supprimer le caractère pathogène des germes afin qu’ils soient incapables de provoquer l’infection tout en restant suffisamment actifs pour déclencher l’immunité. Souches obtenues ont servi pour le premier vaccin contre la polio, qui était buvable ; servent tjs pour la rougeole, les oreillons, rubéole (ROR), la varicelle, … Vaccins efficaces mais cportent un risque (rare) : l’agent infectieux muté redevienne agressif et entraîne la maladie ss une nvelle forme -> vaccin par voie orale contre la polio, q. a été remplacé / un autre ds PI industrialisés ms q. reste utilisé ds PI en développemt. livre Les agents infectieux sont multipliés en laboratoire jusqu’à ce qu’ils perdent naturellement ou artificiellement, par mutation, leur caractère pathogène. Les souches obtenues sont alors incapables de développer entièrement la maladie qu’elles causaient auparavant, mais conservent cependant leurs antigènes et leurs capacités à induire des réponses immunitaires. Ce genre de vaccin est généralement plus efficace et son effet plus durable que celui qui est composé d’agents infectieux inactivés. En revanche, comme il est constitué de micro-organismes dont la viabilité doit être

maintenue pour être efficace, sa conservation est plus difficile[réf. nécessaire]. Les principaux vaccins vivants sont ceux contre la rougeole, les oreillons, la rubéole, la fièvre jaune, la varicelle, la tuberculose (vaccin BCG), la poliomyélite (vaccin oral), les gastroentérites à Rotavirus. Ils sont contreindiqués chez la femme enceinte et les personnes immunodéprimées. (sauf le ROR qui est déconseillé pendant la grossesse mais dont l'administration accidentelle lors d'une grossesse méconnue n'a jamais entraîné de malformations chez l'enfant à naître et ne justifie donc pas une interruption de grossesse). Vaccins synthétiques Depuis une vingtaine d’années Constitués de protéines pst à la surface germes, les antigènes, produites à partir de levures génétiquemt modifiées. Ce st antigènes q. permettent à notre sys. Immunitaire de reconnaître l’agent infectieux qd il le rencontre et de produire les anticorps spécifiques. Ces nveaux vaccins ne contiennent pas de germes ms protéines purifiées présentent – risque que vaccins vivants atténués ;en revanche, ils st – puissants ou « réactogènes ». Donc, pr doper réponse immunitaire, on les a complétés d’adjuvants (sel d’aluminium, émulsion lipidique,…) q. ont la particularité de provoquer 1 inflammation locale ds région d’injection où anticorps vont immédiatement se concentrer. Vaccins c/ hépatite B un des premiers issus du génie génétiq. Selon experts, ces vaccins plus sûrs que ceux d’autrefois, avantages pr fabricants de permettre production rapide de nbreuses doses sans avoir recours à bcp d’agents infectieux. Néanmoins, mm en quantité infime, adjuvants st substances chimiques. Certains, comme aluminium ou squalène, extrait de graisse requin, st suspectés d’ê à l’origine de maladies auto-immunes (agression de l’organisme par son sys. Immunitaire q. se met à sécréter des anticorps c/ ses propres antigènes qu’il ne reconnaît pas et csidère comme étrangers) chez pers. Vaccinées c/ hépatite Bn les papillomavirus et grippe H1N1. Vaccins ctiennent égalemt cservateurs ou 1 antibiotique pr empêcher leur ctamination par bactéries, ainsi que stabilisants q. permettent d’assurer leur qualité pdt stockage. livre Ces vaccins sont constitués des molécules de surface des agents infectieux afin d'obtenir des réponses immunitaires sans avoir à conserver, inactiver et introduire le virus concerné. Les vaccins contre les virus de l’hépatite B ou contre les papillomavirus sont ainsi constitués des protéines qui se trouvent naturellement à la surface de ces virus. Généralement ces antigènes sont produits par des levures modifiées par génie génétique, afin qu'elles produisent en grandes quantités les protéines d'intérêt. Éliminant tout risque de contamination, ces vaccins demandent cependant à ce que les mécanismes d'immunogénicité associés aux infections visées soient bien connus, et que les protéines de surface des agents infectieux soient stables et définies. Vaccins constitués de toxines inactivées Lorsque les symptômes les plus graves de la maladie sont dus à la production de toxines par l’agent infectieux, il est possible de produire des vaccins uniquement à partir de ces toxines en les inactivant chimiquement ou par la chaleur (une toxine ainsi rendue inoffensive est alors fréquemment appelée un « toxoïde » ou plus généralement une « anatoxine »). Le tétanos ou la diphtérie sont deux exemples de maladies dont les symptômes sont dus à des toxines et contre lesquelles on produit des vaccins de cette façon.

http://biotechlerncenter.interpharma.ch/fr/3107-2-systeme-immunitaire-inne-ou-acquis http://fr.wikipedia.org/wiki/Vaccination#Principe_de_la_vaccination

vaccin protège jms à 100%. Son efficacité s’évalue par sa capacité à prévenir une maladie et à galvaniser la production d’ac dt taux, variable pr chaq. Individu, se mesure ds sang. On estime que, pr rougeole, protection vaccinale est de 95% c/ de 65 à 75% pr typhoïde et de 40 à 50% pr grippe chez pers. + 80ans. Pop° jeunes et en bonne santé répondent mieux à vaccination ue autres. Un petit nbre pers. N’y sont pas très réactives pr raisons génétiq. Ms lorsque bcp pers. autour d’elles st vaccinées, elles sont protégées, car virus ont + mal à circuler. Pr atteindre cet objectif : autorités sanitaires lancent régulièrement campagnes de vaccination de masse. Livre Vaccins thérapeutiques Il ne s’agit plus de protéger contre une maladie mais de la soigner une fois déclarée ->> VIH En utilisant les mêmes principes d'injection d'un germe affaibli ou tué, le but recherché n'est pas ici de développer une mémoire à long terme, mais de stimuler le système immunitaire. Ce type d'approche est étudié en particulier dans des maladies où le système immunitaire est mis à rude épreuve :  

Dans les cancers : une stimulation du système immunitaire par des antigènes spécifiques de cellules cancéreuses pourrait permettre une meilleure lutte contre celles-ci. Dans le SIDA : le système immunitaire est fortement affecté dans cette maladie. Sa stimulation (par des lipopeptides viraux ou encore des vecteurs viraux recombinants présentant des gènes du VIH modifiés) permettrait de maintenir une charge virale faible, tout en diminuant (ou éliminant ?) les traitements (tri-thérapies, etc.). Voir à ce sujet les premiers résultats présentés en février 2003.

http://www.snv.jussieu.fr/vie/actu/docs/2vaccins_120203.htm

View more...

Comments

Copyright � 2017 NANOPDF Inc.
SUPPORT NANOPDF